La mérule est un véritable fléau, un champignon qui s’attaque à toutes les boiseries de votre habitation. Elle se développe notamment lorsque le taux d’humidité est conséquent dans l’environnement. Découvrez tout ce qu’il faut savoir sur la mérule à cette adresse : http://www.adkalis.com/documentation/traiter-la-merule/. On a recensé sa présence dans environ cinquante départements de France. Dans cet article, nous vous proposons de découvrir quelles sont les zones de France les plus touchées par la mérule.
La Bretagne
La Bretagne est la toute première région de France touchée par la mérule. Il faut notamment prendre en compte que dans le Finistère, environ 75 à 100 % des communes sont directement touchées par ce champignon. Cela est notamment dû au fait que de nombreuses maisons anciennes sont présentes avec des planchers en bois, des poutres, des caves, etc. De plus, les maisons sont très souvent situées à proximité des rivières ce qui augmente la probabilité de la présence de mérule.
Le Puy-de-Dôme
Le Puy-de-Dôme est une zone de France très à risque face à la mérule. En effet, de nombreux acheteurs se retrouvent notamment dans des situations délicates avec des maisons en chantier pour traiter la présence de ce champignon. Certains propriétaires sont notamment dans l’obligation de tout démonter pour retrouver les toutes premières traces de la mérule. On peut notamment citer la commune du Mont-Dore qui, depuis mai 2018, oblige les vendeurs à informer les acquéreurs de la présence éventuelle de la mérule.
La Normandie
La mérule attaque de nombreuses habitations au cœur de la Normandie. Certains propriétaires ont même dû détruire leur maison pour y construire du neuf à la place. Il faut prendre en compte que de nombreuses maisons en Haute-Normandie sont menacées par la mérule. Cette dernière touche notamment toutes les résidences secondaires situées en bord de mer et qui datent généralement du 19ème siècle. Une pétition fut même lancée par les habitants pour tenter d’obtenir des financements pour les propriétaires les plus modestes qui se retrouvent dans l’incapacité de traiter la mérule.